Le cerveau de votre enfant : c’est le livre de la 4eme semaine de défi ! Déjà 1 mois, j’ai l’impression d’avoir lu tant de choses. Après avoir abordé l’éducation positive, les émotions de nos enfants et la famille recomposée, on va essayer de mieux comprendre nos petits à travers des données scientifiques sur le cerveau. Je vous rassure, rien de trop compliqué ici, tout est vulgarisé pour pouvoir mettre en application.
Pour ma part, étant plutôt scientifique à la base, c’était rassurant de voir un livre qui donne des raisons logiques à des règles d’éducation. On comprend mieux pourquoi on applique telles ou telles méthodes. Le cerveau est un des organes les plus complexes et le moins connu. Les études poussées de ces dernières années nous ont donné pas mal de clefs pour mieux appréhender le cerveau des enfants.
On va voir ça ensemble, le livre parlera en gros de :
- L’intégration du cerveau gauche et droit (logique vs émotionnel)
- L’intégration du cerveau bas et haut (instinct vs réflexion)
- Comment fonctionne la mémoire
- Le cerveau comme un organe social
- Les neurones miroirs
Et pour que vous puissiez directement mettre en application ce livre, voici le résumé rien que pour vous
Sommaire
Résumé du livre : le cerveau de votre enfant
Survivre et s’épanouir
Alors qu’à chaque instant on essaie de survivre pour ne pas crier sur nos enfants, il est possible de voir chacun de ces instants comme une occasion de leur apprendre le respect, le partage et leur relation avec les autres.
Ce livre parle des enfants de 0 à 12 ans. Un autre livre traitera du cas particulier des adolescents.
1. Comprendre les principes de base du cerveau de votre enfant
Abordons d’abord le cerveau comme un tout
Qu’est-ce que l’intégration et pourquoi est-ce important ?
Le cerveau de votre enfant (et celui des adultes) est constitué de plusieurs parties. L’intégration de ces parties, c’est-à-dire leur connexion est importante pour l’équilibre. L’intégration horizontale relie le cerveau gauche logique et le cerveau droit émotionnel. L’intégration verticale relie le cerveau supérieur (qui permet de réfléchir aux actes) au cerveau inférieur (lié à l’instinct de survie).
Le cerveau évolue sans cesse. Il se nourrit d’expérience. En tant que parents, c’est à nous de fournir les meilleures expériences : de la musique, des jeux ou des écrans de télévisions n’apportent pas la même évolution de cerveau.
La suite du livre nous apprendra comment aider nos enfants à mieux intégrer leur cerveau.
La vie peut être vue comme un long fleuve. D’un côté la rive du chaos, de l’autre la rive de la rigidité. Le but est de rester au centre, à l’équilibre.
Nous apprendrons dans la suite comment faire.
2. Deux cerveaux pensent mieux qu’un : cerveau droit / cerveau gauche
Alors que le cerveau gauche est logique, le cerveau droit est plutôt émotionnel. Les enfants de moins de 3 ans utilisent beaucoup plus leur cerveau droit, petit à petit, ils se posent plus de questions, plus de « pourquoi » et développent leur cerveau gauche.
Deux moitiés forment un tout : combiner le gauche et le droit
Se servir uniquement du cerveau droit, c’est se noyer dans un trop-plein d’émotion. À l’inverse, se servir uniquement du gauche nous fait vivre dans une logique extrême sans émotion : un désert émotionnel.
Aidons nos enfants à s’intégrer horizontalement, à connecter le gauche et le droit et faisons de même.
Leçon 1 : se connecter et rediriger (surfer sur la vague de l’émotion)
Si votre enfant vous fait des reproches totalement illogiques, il semble être dans un débordement émotionnel. Au lieu de le gronder ou de tenter une explication logique, il vaut mieux se connecter à son cerveau droit (émotionnel) en expliquant « je te comprends, ce n’est pas facile », en le prenant dans vos bras. Dès qu’il se sent compris, vous pouvez vous connecter à son cerveau gauche (logique et rationnel) pour lui expliquer les solutions.
À l’inverse, tenter de communiquer avec le cerveau gauche (logique) lors d’un débordement d’émotion (cerveau droit) est voué à l’échec.
Exception : ne laissez pas pour autant passer des transgressions de règles flagrantes : frapper, insulter, etc.
Leçon 2 : Nommer pour apprivoiser (raconter son expérience pour endiguer ses émotions)
Un enfant tombe et se fait mal. Ou bien il a perdu son doudou. Nos enfants connaissent de petits traumatismes. Pour pouvoir les surmonter, on peut les aider à raconter ce qu’il s’est passé. En nommant ce qui se passe, on l’apprivoise mieux. Si un enfant tombe, au lieu de nier ses sentiments « ça va aller, ne pleure pas », verbaliser pour mieux apprivoiser « aïe, ça doit faire mal, tu as trébuché et puis? Etc. Je t’ai consolé, j’espère que ça va mieux ». Aidez-le à raconter ce qu’il lui est arrivé.
3. L’escalier de l’esprit : cerveau d’en haut et cerveau d’en bas
Intégrer le cerveau d’en haut et le cerveau d’en bas
Le cerveau du bas est plus primitif, il gère les instincts, les fonctions de base comme les clignements des yeux, les réactions immédiates, etc. Le cerveau du haut est plus sophistiqué, il prend des décisions plus réfléchies.
Bien intégrer ses 2 parties, les faire communiquer correctement, permet de ne pas se laisser emporter par ses pulsions mais également de réfléchir tout en suivant son intuition.
Le cerveau d’en haut inachevé : avoir des attentes appropriées pour vos enfants
La partie du haut sera mature à partir de 25 ans tandis que le cerveau du bas est solide dès la naissance. N’attendez donc pas de votre enfant de toujours prendre des décisions judicieuses, d’être empathique et d’être conscient de la moralité, etc.
Situations de crise : panique à tous les étages
Il est bon de faire la différence entre crise intentionnelle (cerveau du haut, réfléchi) et crise incontrôlée (cerveau du bas, plus primitif). Un enfant qui fait une crise pour avoir un nouveau jouet sait qu’il pourrait avoir son cadeau en vous poussant à bout : ne négociez pas, c’est non ! En revanche, un enfant qui s’emporte sans arriver à se contrôler subit une réelle crise du bas.
Leçon 3 : Sollicitez- le, ne le faites pas enrager (Faites appel à son cerveau du haut)
En cas de crise, au lieu d’exiger à votre enfant d’obéir (cerveau du bas), vous pouvez tenter de lui demander d’expliquer son état puis de trouver une solution ensemble (cerveau du haut). Plus tard, n’hésitez pas à revenir sur le problème en expliquant quel comportement est adapté ou non (même si l’explication pourra être déplaisante pour votre enfant).
Leçon 4 : L’utiliser pour ne pas le perdre (exercer le cerveau d’en haut)
Le cerveau de votre enfant est comme un muscle, si on entraîne nos enfants à l’utiliser, le cerveau se développera. Il y a plusieurs moyens de s’en servir :
- Prendre une décision judicieuse
Laissez vos enfants choisir leurs vêtements par exemple. - Contrôler ses émotions et son corps
Lorsqu’ils sont en colère, proposez-leur une alternative pour garder le contrôle : s’arrêter pour respirer, compter jusqu’à dix, se défouler sur un oreiller. Chaque fois que ça lui sera possible, l’enfant aura exercé son cerveau du haut. - Apprendre à se connaître
Aidez-les à interroger, à écrire ou à dessiner pour mieux se connaître eux-mêmes. - Empathie
Saisissez les occasions d’imaginer les sentiments d’autrui « à ton avis, pourquoi ce bébé pleure-t-il? », « Dans l’histoire, que ressent l’héroïne qui déménage selon toi? » - Moralité
Leur sens moral, leur notion du bien et du mal, le bien-être commun, etc. toutes ces notions peuvent être abordées par des questions imaginaires : « penses-tu que j’ai le droit de griller le feu rouge? » « Que ferais-tu si ton ami se faisait embêter? »
Leçon 5 : Bouger le corps pour ne pas perdre l’esprit
Lorsque que le cerveau du haut est bloqué, proposez un petit exercice physique pour changer leur état d’esprit. Comme sourire nous rend plus heureux, respirer lentement nous relaxe, une modification physique entraîne souvent une modification psychique.
Exemple : si un enfant refuse de mettre son pantalon, suggérer de sauter 3 fois sur place avant.
Servez-vous aussi de votre cerveau du haut
Si vous sentez que vous allez vous emporter, ne dites rien pour éviter de blesser votre entourage, mettez-vous dans une pièce à côté si nécessaire. Vous pouvez même faire des petits exercices physiques comme des sauts ou des pompes.
On perd tout notre sang-froid à un moment où à un autre. L’idée est de s’en rendre compte et d’agir avant d’infliger des dégâts.
4. Intégrer la mémoire pour guérir et grandir
La mémoire et le cerveau : un duo de mythe
- Mythe 1 : chaque souvenir est un fichier stocké dans le cerveau.
En fait chaque expérience active des neurones. Les neurones activés ensemble communiquent ensemble. - Mythe 2 : la mémoire est une photocopieuse, elle nous renvoie une copie exacte d’un souvenir.
Avez-vous déjà raconté un souvenir pour être finalement coupé par votre fils ou conjoint(e) « Mais non, ça s’est pas passé comme ça! » Chaque souvenir est en fait une altération de nos expériences passées.
La vérité à propos de la mémoire : explicite ou implicite
La mémoire implicite représente les souvenirs que l’on utilise sans s’en rendre compte. Comme changer une couche sans réfléchir à chaque étape, c’est devenu instinctif.
À l’inverse, refaire une recette de cuisine que vous avez déjà faite seulement 3 fois est plus compliqué. Vous essayez de vous souvenir de chaque étape de manière plus explicite.
Intégrer l’implicite et l’explicite. Assembler les pièces du puzzle de l’esprit.
Si une angoisse de votre enfant semble infondée, peut-être est-ce relié à un souvenir implicite. Essayez de creuser mais vérifiez d’abord qu’il ne s’agisse pas d’un besoin plus simple : manger ou dormir par exemple.
Leçon 6 : Utilisez la télécommande de l’esprit (revivez vos souvenirs)
Si vous pensez qu’un souvenir traumatisant est à l’origine d’un blocage, vous pouvez essayer de raconter l’histoire en proposant à votre enfant de mettre « pause » lorsqu’il en a envie ou de faire « avance rapide » également sur les moments difficiles. Le but est de l’aider à se souvenir du moment difficile en expliquant que cela ne devrait pas affecter son présent.
Leçon 7 : la chasse aux souvenirs dans la vie familiale de tous les jours
Aidez vos enfants à se souvenir de leur journée. Demandez-leur de vous la raconter. S’ils ne sont pas très bavards, tentez des questions ouvertes « Quel était ton meilleur moment aujourd’hui ? » Ou bien un jeu du type « Raconte une chose qui s’est passée aujourd’hui et 2 choses qui ne se sont pas passées et moi je dois deviner laquelle est vraie ». Vous travaillez ainsi leur mémoire, ils comprennent également mieux ce qui leur arrive.
Apprenez vos enfants à transformer leurs souvenirs implicites en souvenirs explicites.
Aidez-les à expliquer des peurs infondées, trouvez avec eux les souvenirs implicites qui sont à l’origine de leurs réactions.
De même posez-vous la question sur vos réactions : sont-elles rationnelles ou non? Si elles ne le sont pas, essayez d’en trouver les origines.
5. Mes États-Unis : intégrer les multiples parties de soi
Mindsight et roue de la conscience
Le terme mindsight, que l’on peut traduire par clairvoyance, représente la vision que l’on a de soi et des autres. Notre esprit est comme une roue, au centre nous sommes calmes, autour, il y a le pneu avec différents points sur lesquels on se focalise. Si les points sont négatifs, il faut se recentrer, puis se focaliser sur des points positifs.
Bloqué sur le pneu : distinguer « ressentir » et « être »
Parfois les enfants perçoivent un sentiment temporaire comme un état permanent. Au lieu de se dire « Je me sens nul » ou « Je me sens faible », ils se disent « Je suis nul » ou « Je suis faible ». Apprenez-leur à faire la différence entre « être » et « ressentir« .
Le pouvoir de la concentration
Un trait de caractère peut devenir une aptitude et un état, un trait de caractère. En se focalisant sur les bons aspects, on développe notre cerveau dans le bon sens.
Leçon 8 : Laissez passer l’orage (expliquer à vos enfants que les émotions sont passagères)
En général, une émotion dure 90 secondes. Expliquez-leur que les émotions sont comme des nuages qui vont finir par se dissiper. Un état n’est jamais permanent.
Leçon 9 : SISP (être attentif à ce qui se passe en nous)
- Sensations : Sensations physiques (boule dans le ventre, épaules tendues, …)
- Images : Les images qu’on a dans la tête.
- Sentiments : Temps accordé à une émotion.
- Pensées : C’est tout ce que l’on se dit.
Être conscient de ses SISP permet de comprendre ce qui se passe en nous et de le modifier ou d’y remédier.
Leçon 10 : Apprendre à se recentrer
Proposez à vos enfants des exercices de concentration. Dites-leur de rester immobiles et calmes, ils peuvent se focaliser sur ce qu’ils voient, puis ce qu’ils entendent, puis ce qu’ils ressentent, … Dites-leur également de s’imaginer dans un endroit où ils se sentent bien. Cela ressemble à de la méditation, même si cela est moins poussé, cet exercice permet de se recentrer efficacement.
Apprenez à vos enfants à intégrer les multiples parties d’eux-mêmes.
En tant que parent il est également possible d’utiliser ce principe pour se recentrer. Lorsque votre esprit est rempli de pensées négatives, recentrez-vous et repensez à tous les moments positifs : votre dernière balade au parc, vos fous rires, la dernière fois que vous avez fait des gâteaux ensemble, etc. En ayant conscience qu’on peut modifier nos pensées, on libère notre esprit des influences négatives.
6. La connexion moi-nous : intégrer le soi aux autres
Ce chapitre traite de la capacité de votre enfant à se mêler aux autres. Comment développer son empathie?
Le cerveau de votre enfant (et le nôtre) est un organe fait pour des relations sociales.
Les neurones miroirs : des réflecteurs pour l’esprit
Avez-vous déjà bâillé en voyant quelqu’un le faire? C’est vos neurones miroirs qui sont à l’origine de ce comportement. Ces neurones sont à la base de l’empathie. Ils permettent également une meilleure intégration sociale. Avez-vous déjà souri en entendant un groupe d’amis rire avant même d’avoir entendu la blague? Encore les neurones miroirs.
Poser les fondements de la connexion : créer des modèles mentaux positifs
Les bases des relations avec les autres se font par l’expérience que notre enfant a comme relations avec ses parents, ses grands-parents etc. s’il se sent choyé et rempli d’amour, il se servira de ce modèle pour ses relations futures, et inversement.
Se préparer au « nous » : proposez des expériences qui favorisent les relations humaines
Un enfant timide doit pouvoir créer des relations. Trouvez un bon équilibre entre le faire interagir avec les autres et ne pas trop le pousser.
Leçon 11 : Augmentez le plaisir d’être en famille (profitez les uns des autres)
Profitez pleinement des moments en famille. Les plaisirs provoquent une sécrétion de dopamine dans le cerveau. Cette substance nous rend accros. Ainsi, un enfant qui prend du plaisir à jouer en famille voudra reproduire ces moments de joie. Essayez de rendre les choses ludiques dès que possible.
Leçon 12 : Se connecter par le conflit (apprenez à vos enfants à se disputer en gardant le « nous » en tête)
Poussez-les à être empathiques. Posez-leur des questions pour qu’ils puissent imaginer ce que ressent la personne en face en cas de conflit.
Proposez-leur de réparer (faire ce qui est juste après un conflit). Parfois, il ne suffit pas de dire pardon, on peut aider à réparer un jouet cassé par exemple ou nettoyer un pot de peinture tombé. Cela permet d’enseigner la responsabilité.
Le cerveau de votre enfant : mon avis sur ce livre ?
Le livre semble épais mais se lit finalement assez vite. On a le droit à 12 leçons illustrées qu’on découvre tout au long des chapitres. On retiendra surtout que le cerveau est fait de 4 parties (cerveau gauche / droit / bas / haut c’est-à-dire logique / émotionnel / instinctif / réfléchi).
J’apprécie surtout la fin qui regroupe un résumé sous forme de pense-bête. On a également un outil super : plusieurs tableaux, un par tranche d’âge (0-3 ans, 4-6 ans, etc.) avec chaque leçon et un exemple concret ! Il suffit juste de regarder le tableau récapitulatif quand on en a besoin (pratique!).
Ce livre est donc super pratique, il regroupe quand même moins d’idées que les livres que j’ai lus avant. Je pense que c’est surtout un bon complément et surtout très pratique (j’insiste j’ai vraiment beaucoup aimé les tableaux récapitulatifs avec les exemples en fonction de l’âge).
Encore un article assez long mais avec pas mal d’informations. J’espère qu’il vous servira à mieux comprendre le cerveau de votre enfant, à mieux comprendre votre relation avec lui et ses relations avec les autres.
Pour lire plus d’avis sur ce livre : cliquez ici !
Si vous avez appris quelque chose avec cet article, vous pouvez le partager à volonté avec les parents autour de vous
Merci et à mardi prochain pour la suite !
Merci Chang Kalak pour ce résumé !
Comprendre un peu mieux son enfant et notre propre fonctionnement à la lumière des neurosciences est une chance que nous avons en tant que parents d’aujourd’hui. Personnellement je trouve cela passionnant !
Certes cela peut paraitre un peu fastidieux au départ pour ceux qui ne sont pas de base d’esprit scientifique mais aujourd’hui beaucoup de spécialistes rendent ces connaissances accessibles à tous et nous aident surtout à savoir comment ces données peuvent nous être utiles sur le terrain de la parentalité, et ça, on est preneurs … 😉 !
Je retiendrais : entre autre .. 😉
– Dans la vie, comme pour le cerveau, l’essentiel c’est l’équilibre !
– L’importance d’apprendre à identifier à quelle partie de son cerveau notre enfant est connecté afin de pouvoir le rejoindre là où il est en ouvrant en nous cette même partie cérébrale. (Ca nous apprendra aussi pas mal de choses sur nous même.. Et c’est , je pense, aussi valable pour la communication en général, notamment dans le couple).
– L’image de la roue et de revenir au centre de nous même dès qu’il y a besoin.
Une piste pour ceux à qui cela parait difficile : personnellement le fait de pratiquer quotidiennement la méditation me permet de connaitre le chemin du retour à moi et de l’emprunter plus facilement en cas de besoin. C’est comme pour les chemins de randonnée, plus ils sont empruntés souvent, plus ils invitent à les suivre facilement. C’est la magie de la plasticité cérébrale… 🙂
Marie
La voie de la famille
Merci pour ton commentaire Marie 🙂
Effectivement la science nous éclaire énormément ! Je trouve ça rassurant de comprendre comment ça fonctionne, on peut communiquer avec nos enfants et leurs émotions beaucoup plus facilement.
Tu parles de méditation et je trouve que c’est une belle idée. J’en fais moi-même et je sais qu’il est possible d’en faire avec nos enfants (cf. le livre « Calme et attentif comme une grenouille »).